La RTBF a tourné pour les producteurs suédois, la carte postale belge pour l’Eurovision des chœurs à Namur. L’occasion de découvrir la chorale Almakalia…
Mi-juin, le rendez-vous est donné sur les bords de la Sambre à Namur. C’est en partie là que le chœur Almakalia va enregistrer la carte-postale de l’Eurovision Choir 2019. Cette petite séquence de présentation des candidats lors du show qui permet de faire la transition entre deux candidatures. Le thème cette année est le voyage, le trajet pour arriver à Göteborg. Le tournage belge se fera en trois parties : le départ de l’IMEP (l’école musicale d’où sont issus les élèves participants), les rives de la Sambre pour l’effet dynamique et nature, et le Théâtre de verdure à la Citadelle.
C’est la RTBF qui prend en charge le tournage, la télévision suédoise, hôte de l’édition 2019, s’occupera du montage final pour que les dix séquences soient dans le même moule. On peut dire que ce 13 juin, on a «de la chance avec le temps», car la veille, à la même heure, c’était le déluge de la météo. La vingtaine d’élèves se prêtent au jeu, même si pour eux tout cela est nouveau. C’est aussi le but de la participation à l’Eurovision Choir, mettre les chanteurs dans les conditions d’un programme de télévision.
La carte-postale de l’Eurovision, c’est aussi des contraintes. «On a reçu un briefing de Göteborg qui demandait de faire un petit trajet dans un environnement qui correspond à la chanson ou l’état d’esprit de la formation. C’est Nicolas Dorian qui a proposé la Sambre et la Citadelle. Cet esprit nature leur correspond parfaitement.», conclut le réalisateur qui a travaillé sur les portraits durant les 8 saisons de «The Voice Belgique».
Le résultat sera à voir, ce samedi, vers 20h45 (puisque notre pays passe déjà en seconde position). Ce tournage d’une journée sera réduit en +/- 40 secondes. En ce laps de temps, les projecteurs européens seront rivés sur la capitale wallonne.
Pierre Bertinchamps
«La réalisation de la carte-postale de l’Eurovision n’est pas difficile en soi», explique M.Rigot. «Ce que je dois surtout faire, c’est mettre en valeur le groupe, et puis il y a le rayonnement européen de notre réalisation. C’est pour ça qu’on prend le temps de le faire pour avoir la bonne prise.» Coup de chance, une péniche est passée par hasard, elle apportera une touche encore plus réaliste. «Le jeunes sont de bonne composition, c’est chouette à faire.», sourit-il.
La carte-postale de l’Eurovision, c’est aussi des contraintes. «On a reçu un briefing de Göteborg qui demandait de faire un petit trajet dans un environnement qui correspond à la chanson ou l’état d’esprit de la formation. C’est Nicolas Dorian qui a proposé la Sambre et la Citadelle. Cet esprit nature leur correspond parfaitement.», conclut le réalisateur qui a travaillé sur les portraits durant les 8 saisons de «The Voice Belgique».
Le résultat sera à voir, ce samedi, vers 20h45 (puisque notre pays passe déjà en seconde position). Ce tournage d’une journée sera réduit en +/- 40 secondes. En ce laps de temps, les projecteurs européens seront rivés sur la capitale wallonne.
Pierre Bertinchamps
«On a déjà envie d’y être» explique Virginie (à droite). «Même si on sait que c’est très exigeant en terme de préparation. C’est malgré tout hyper-excitant et épanouissant.» Florence (à gauche) a déjà des concours internationaux à son actif. «Je fais déjà partie d’une chorale, et on a fait quelques voyages. Je connais le principe de partir avec le groupe. Ça ne me stresse pas !» Enfin… presque. «L’expérience de chanter dans une grande arène, c’est très différent que de chanter dans la Basilique Saint-Marc à Venise. Et il y a la médiatisation et la diffusion à la télé.» Il y a dans le concept de l’Eurovision, la dimension de la représentation de notre pays, qui n’est pas à négliger.
Pas le temps de trop trainer, même si la scène de la promenade sur la Sambre a été refaite une dizaine de fois. «Souvenez-vous de qui sont vos voisins à chaque nouvelle prise», lance le réalisateur, Philippe Rigot. Les élèves doivent être libérés à 15h, session d’examen oblige.
«La réalisation de la carte-postale de l’Eurovision n’est pas difficile en soi», explique M.Rigot. «Ce que je dois surtout faire, c’est mettre en valeur le groupe, et puis il y a le rayonnement européen de notre réalisation. C’est pour ça qu’on prend le temps de le faire pour avoir la bonne prise.» Coup de chance, une péniche est passée par hasard, elle apportera une touche encore plus réaliste. «Le jeunes sont de bonne composition, c’est chouette à faire.», sourit-il.
La carte-postale de l’Eurovision, c’est aussi des contraintes. «On a reçu un briefing de Göteborg qui demandait de faire un petit trajet dans un environnement qui correspond à la chanson ou l’état d’esprit de la formation. C’est Nicolas Dorian qui a proposé la Sambre et la Citadelle. Cet esprit nature leur correspond parfaitement.», conclut le réalisateur qui a travaillé sur les portraits durant les 8 saisons de «The Voice Belgique».
Le résultat sera à voir, ce samedi, vers 20h45 (puisque notre pays passe déjà en seconde position). Ce tournage d’une journée sera réduit en +/- 40 secondes. En ce laps de temps, les projecteurs européens seront rivés sur la capitale wallonne.
Pierre Bertinchamps
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